« C’est la chasse à l’homme blanc » : Patrick Sébastien balance sur le Complément d’enquête sur Cyril Hanouna (VIDEO).
Le 30 novembre dernier, France 2 a diffusé un épisode très attendu de « Complément d’enquête » intitulé « Cyril Hanouna, le nouveau parrain du PAF ». Ce reportage explore l’ascension de l’animateur vedette de C8, Cyril Hanouna, à travers des documents exclusifs et des témoignages, offrant un regard en coulisses sur l’émission emblématique « Touche pas à mon poste! ». Réalisée sur une période d’un an par la journaliste Virginie Vilar, l’enquête a impliqué 250 personnes au total, dont 32 collaborateurs de l’émission.
L’épisode a établi un record historique en attirant plus de 3 millions de téléspectateurs, suscitant un vif intérêt du public. Le 19 décembre, Cyril Hanouna a invité Patrick Sébastien dans son émission. Interrogé sur le « Complément d’enquête » qui lui était dédié, Patrick Sébastien a exprimé son point de vue critique. Il a souligné une tendance qu’il perçoit comme une « chasse à l’homme blanc », se demandant qui serait la prochaine cible, mentionnant des personnalités telles que Bigard, Reichmann, voire lui-même.
Patrick Sébastien a critiqué les témoignages anonymes, pointant du doigt un témoignage anonyme dans le reportage sur Hanouna et des images volées dans celui sur Gérard Louvin. Géraldine Maillet a répliqué en soulignant les plaintes déposées par des femmes, insistant sur le sérieux de ces allégations.
La discussion a ensuite abordé les propos de Gérard Louvin et les accusations de viol. Patrick Sébastien a plaidé pour la prudence médiatique, soulignant que les personnes accusées devraient être jugées avant toute condamnation publique. Il a partagé une anecdote sur Ary Abittan, affirmant qu’il avait été innocenté, mais que cette information n’avait pas été largement diffusée. Il a conclu en exprimant son malaise et son choc face aux événements et aux révélations.
Cette séquence témoigne des débats complexes et des préoccupations suscités par les enquêtes médiatiques sur des personnalités publiques, mettant en lumière les tensions entre la présomption d’innocence, le jugement médiatique, et les enjeux sociaux.